Le 18 Novembre, je serai en dédicace au salon du livre de Castelsarrasin, aux côtés de ma soeur Céline.
Venez nombreux !
Le 18 Novembre, je serai en dédicace au salon du livre de Castelsarrasin, aux côtés de ma soeur Céline.
Venez nombreux !
J’ai le grand plaisir d’être lauréat du concours Émergence organisé par la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse, grâce à ma nouvelle « l’Affaire de la Tirelire ».
http://la-charte.fr/magazine/evenements/article/les-douze-laureat-e-s-du-concours
Au programme, un recueil avec les douze nouvelles lauréates, mais je ne sais pas exactement dans quelle mesure il sera possible de se le procurer.
Et comme cette bonne nouvelle se sentait seule, j’ai également mon nom dans le 7ème Tournoi des Nouvellistes organisé par Un Monde de Mot.
http://www.unmondedemots.com/pages/tournoi-des-nouvellistes/7eme-tournoi-des-nouvellistes-liste-des-nouvelles-selectionnees.html
Ma nouvelle « Kurt Cobain contre le Diable » sera dans l’arène à partir du 6 Octobre dans le groupe B des Manticores.
Ma nouvelle « La Berceuse » a de son côté reçu un titre honorifique.
Un recueil avec ces deux nouvelles et toutes celles du tournoi (41 en tout) sera disponible en numérique et en impression à la demande en 2019.
Je vous reparle de tout ça le moment venu.
Nous connaissons bien les trois premiers murs. Ils sont le côté cour, le côté jardin et le décors de fond d’un théâtre. Ils sont les côtés et le fond de notre télévision. Ils sont là où on ne peut pas voir car la caméra ne le montre pas.
Le quatrième mur, c’est cette frontière invisible où se glisse le rideau du théâtre. C’est la toile du cinéma. Dit autrement, c’est la ligne de séparation entre la fiction et la réalité. Métaphoriquement parlant, ce quatrième mur existe pour tous les médias. Les supports papiers ont un objet livre qui sert de jonction. Un conte est porté par la voix du conteur.
Dans la plupart des fictions, le quatrième mur est étanche. Les personnages ne s’adressent pas aux spectateurs, et vice versa. Puis, on fait des exceptions.
Briser le quatrième mur signifie donner à un personnage une conscience de sa nature fictionnelle. Un personnage – voire le narrateur lui-même – s’adressant au lecteur. Le même personnage utilisant sa connaissance de son monde imaginaire et de ses règles pour faire avancer l’intrigue.
Les spectacles vivant vont encore plus loin. Guignol interagit directement avec son public. Un spectateur monte sur scène le temps d’incarner un personnage lors d’une pièce de théâtre. Voire, tout le public pris en otage en tant que personnage.
Je m’amuse beaucoup quand une œuvre casse son quatrième mur. Qu’en est-il pour toi, humble lecteur ?
Nous voilà en Suisse, dans le canton de Vaud.
Là-bas, le Bon Enfant est un vieux nom du père Noël. On le dit marié à un personnage inquiétant : la Chauchevieille.
Vieille femme habillée de noir, elle est parente des sorcières, dont elle partage certains attributs.
La Chauchevieille est surtout une personnification du cauchemar. En fait de mauvais rêve, le cauchemar désigne la sensation d’étouffer durant son sommeil, d’être oppressé. La conséquence est un réveil difficile, parfois une terreur nocturne. Cette sensation est le fait de la Chauchevieille, qui presse la poitrine des dormeurs de son pied. Elle punie ainsi les gens désobéissants.
Noël venu, elle récompense les enfants sages avec des noisettes, du chocolat et des oranges.
Les éditions du Carnet à Spirale – éditrices des Révoltés de Noël – organisent leur premier salon littéraire. Ce sera le 5 Mai, chez HarryCow, 13 rue St Ursule à Toulouse, de 10h à 18h.
Je vous y donne rendez-vous !
Vous avez peut-être déjà entendu une phrase se terminant par « ce n’est pas de la littérature ».
Les romans jeunesses, ce n’est pas de la littérature.
La fantasy, ce n’est pas de la littérature.
Les romans d’amour, ce n’est pas de la littérature.
L’auteur n’est pas mort depuis deux siècle, ce n’est pas de la littérature.
Je suis systématiquement sur la défensive quand j’entends pareil propos. J’ai aussitôt un gros voyant rouge qui s’allume au dessus de mon interlocuteur, et ce voyant signifie « attention, lecteur snob ».
Il y a des tas de choses à dire sur le snob. Souvent, il connait mal le genre qu’il dénonce. Presque toujours, il le fait non par conviction, mais pour valoriser ses propres lectures, et donc se valoriser lui-même. Hélas, en décrétant unilatéralement comme non légitimes d’autres oeuvres que celles qui lui sont chères, il en dit aussi un peu sur lui-même.
Déjà, tous les genres sont dénoncés de la sorte. Si ce n’est par les uns, c’est par les autres. Conclusion, sauf à admettre que la littérature n’existe pas, il n’est pas possible d’en disqualifier une oeuvre sans argumenter un minimum. On entre alors dans le débat sur la définition de la littérature, et on ne s’en sort pas. Sauf à admettre que tout est de la littérature.
Personnellement, j’en suis là. C’est mal écrit ? C’est nul ? S’il y a un auteur et des mots, c’est quand même de la littérature. Sinon, où placer la limite ? Au nom de quoi ?
Vous en pensez quoi, vous ?
Le dimanche 4 Mars prochain, je serai en dédicace au 9ème salon du livre et de la BD de Nègrepelisse (Tarn-et-Garonne, à une heure de Toulouse environ).
Pour moi, ce sera enfin l’occasion de dédicacer aux côté de ma soeur Céline Monchoux, auteure et illustratrice de tout un tas de trucs chouettes. Je vous invite à découvrir son univers enchanté sur son site web http://celinemonchoux.wixsite.com/jeunesse
Présentation du salon par les organisateurs :
L’association Autriche et Pays d’Oc organise le 9ième salon du livre et de la BD de Nègrepelisse le dim. 4 mars à la salle des fêtes de 9h à 18h.
Vous pourrez y rencontrer 30 auteurs qui auront grand plaisir à vous dédicacer leurs ouvrages (romans, BD, Jeunesse, poésie).
Des animations gratuites seront également proposées à la salle des fêtes ainsi qu’à la Cuisine., centre d’art et de design, au château de Nègrepelisse.
Toutes les infos sur le site officiel : http://www.o-p-i.fr/7alire