Lors de ma lecture de « The Golden Path », j’ai longtemps cru qu’il s’agissait d’un biopic. Que Jin Ha existait réellement et qu’en cherchant un peu je pourrai visionner sa filmographie. Mais en fait non, et ça n’a aucune importance.
J’adore The Golden Path. Le dynamisme des planches, le dessin, les personnages, j’ai vraiment passé un bon moment dans cet univers mêlant kung-fu et cinéma d’action. Même si, chipotons un peu, il y a quelques raccourcis regrettables ici et là dans l’histoire.
Présentation éditeur :
Je m’appelle Jin Ha… et j’ai toujours voulu devenir cascadeuse.
Depuis toute petite, Jin Ha est fascinée par la magie du cinéma hongkongais où les arts martiaux – notamment le kung-fu, sa passion – sont mis à l’honneur. Dans la région de Henan, en Chine, elle s’entraîne sans relâche dans une grande école de kung-fu. À 21 ans, son diplôme d’arts martiaux en poche, elle décide de partir pour Hong Kong où elle compte bien faire carrière dans le cinéma ! Sa formatrice, Madame Ma, lui remet une lettre de recommandation et l’invite à rencontrer son cousin Shamo, qui travaille dans un grand studio de cinéma : Golden Path.